Clinique des droits des peuples autochtones

Des stages pratiques et recherches de master pour former à la défense juridique des peuples autochtones.

​​Créée en septembre 2024, la clinique des droits des peuples autochtones encadre le travail d’étudiant·es en dernière année de master à l’Université libre de Bruxelles qui mettent leurs compétences en formation au service d’une analyse rigoureuse et d’une promotion continue du cadre juridique garantissant les droits des peuples autochtones dans le monde en partenariat avec la Fondation DOCIP https://www.docip.org/

Elle fait partie des lieux de stages intégrés à la formation du master en droit de l’ULB (15 crédits) et accueille également des stagiaires volontaires sans qu’une formation en droit soit nécessaire. En outre, elle encadre des mémoires en droit  réalisés par des étudiant.es du master en droit, toutes finalités confondues.

Qui sommes-nous?

Renforcer les savoirs et techniques juridiques d’étudiant·es en droit sur le terrain, à partir de dossiers en cours, et dans le cadre d’un partenariat avec un acteur fondamental de la société civile, développe des compétences fondamentales et précieuses pour les juristes de demain. Durant deux quadrimestres, les étudiant·es suivent des formations spécifiques et travaillent en petits groupes sur un ou plusieurs dossiers déterminés en collaboration avec la Fondation DOCIP. L’investissement et l’horaire de travail dépendent des modalités choisies par les étudiant.es (stages crédités, stages volontaires ou mémoires).

L’approche adoptée par les membres de la clinique de droits des peuples autochtones est spécifique à deux égards : elle promeut une analyse intégrée des instruments juridiques d’une part et se construit à partir de la perspective des peuples autochtones d’autre part. Avec nos étudiant.es et stagiaires, nous travaillons en priorité sur des dossiers de plaidoyer. Cela suppose, pour les juristes, de ne jamais imposer un cadrage ou une priorisation des enjeux et de combiner un savoir technique tout en apprenant à le traduire et le mettre au service d’autres acteurs. Il s’agit là d’un enseignement fondamental pour tous les juristes, encore plus pour ceux et celles de demain. 

Nous collaborons également avec d’autres cliniques juridiques et organisations de défense des droits des peuples autochtones en Amérique latine, comme l’Observatoire de droits humains et des peuples autochtones d’Argentine : https://observatorioregionaldeddhhypueblosindigenas.wordpress.com/contacto/

Enfin, la clinique est également impliquée dans les activités du projet recherche européen MSCA Staff Exchanges EDGES (Entangling Indigenous Knoweldges in Universities) qui vise à faire dialoguer les savoirs autochtones et académiques http://www.edgesproject.com/ 

Les promotions étudiantes

Renforcer les savoirs et techniques juridiques d’étudiant·es en droit sur le terrain, à partir de dossiers en cours, et dans le cadre d’un partenariat avec un acteur fondamental de la société civile, développe des compétences fondamentales et précieuses pour les juristes de demain. Durant deux quadrimestres, les étudiant·es suivent des formations spécifiques et travaillent en petits groupes sur un ou plusieurs dossiers déterminés en collaboration avec la Fondation DOCIP. L’investissement et l’horaire de travail dépendent des modalités choisies par les étudiant.es (stages crédités, stages volontaires ou mémoires).

L’approche adoptée par les membres de la clinique de droits des peuples autochtones est spécifique à deux égards : elle promeut une analyse intégrée des instruments juridiques d’une part et se construit à partir de la perspective des peuples autochtones d’autre part. Avec nos étudiant.es et stagiaires, nous travaillons en priorité sur des dossiers de plaidoyer. Cela suppose, pour les juristes, de ne jamais imposer un cadrage ou une priorisation des enjeux et de combiner un savoir technique tout en apprenant à le traduire et le mettre au service d’autres acteurs. Il s’agit là d’un enseignement fondamental pour tous les juristes, encore plus pour ceux et celles de demain. 

Nous collaborons également avec d’autres cliniques juridiques et organisations de défense des droits des peuples autochtones en Amérique latine, comme l’Observatoire de droits humains et des peuples autochtones d’Argentine : https://observatorioregionaldeddhhypueblosindigenas.wordpress.com/contacto/

Enfin, la clinique est également impliquée dans les activités du projet recherche européen MSCA Staff Exchanges EDGES (Entangling Indigenous Knoweldges in Universities) qui vise à faire dialoguer les savoirs autochtones et académiques http://www.edgesproject.com/ 

L’équipe encadrante

Renforcer les savoirs et techniques juridiques d’étudiant·es en droit sur le terrain, à partir de dossiers en cours, et dans le cadre d’un partenariat avec un acteur fondamental de la société civile, développe des compétences fondamentales et précieuses pour les juristes de demain. Durant deux quadrimestres, les étudiant·es suivent des formations spécifiques et travaillent en petits groupes sur un ou plusieurs dossiers déterminés en collaboration avec la Fondation DOCIP. L’investissement et l’horaire de travail dépendent des modalités choisies par les étudiant.es (stages crédités, stages volontaires ou mémoires).

L’approche adoptée par les membres de la clinique de droits des peuples autochtones est spécifique à deux égards : elle promeut une analyse intégrée des instruments juridiques d’une part et se construit à partir de la perspective des peuples autochtones d’autre part. Avec nos étudiant.es et stagiaires, nous travaillons en priorité sur des dossiers de plaidoyer. Cela suppose, pour les juristes, de ne jamais imposer un cadrage ou une priorisation des enjeux et de combiner un savoir technique tout en apprenant à le traduire et le mettre au service d’autres acteurs. Il s’agit là d’un enseignement fondamental pour tous les juristes, encore plus pour ceux et celles de demain. 

Nous collaborons également avec d’autres cliniques juridiques et organisations de défense des droits des peuples autochtones en Amérique latine, comme l’Observatoire de droits humains et des peuples autochtones d’Argentine : https://observatorioregionaldeddhhypueblosindigenas.wordpress.com/contacto/

Enfin, la clinique est également impliquée dans les activités du projet recherche européen MSCA Staff Exchanges EDGES (Entangling Indigenous Knoweldges in Universities) qui vise à faire dialoguer les savoirs autochtones et académiques http://www.edgesproject.com/ 

Nos partenaires

Renforcer les savoirs et techniques juridiques d’étudiant·es en droit sur le terrain, à partir de dossiers en cours, et dans le cadre d’un partenariat avec un acteur fondamental de la société civile, développe des compétences fondamentales et précieuses pour les juristes de demain. Durant deux quadrimestres, les étudiant·es suivent des formations spécifiques et travaillent en petits groupes sur un ou plusieurs dossiers déterminés en collaboration avec la Fondation DOCIP. L’investissement et l’horaire de travail dépendent des modalités choisies par les étudiant.es (stages crédités, stages volontaires ou mémoires).

L’approche adoptée par les membres de la clinique de droits des peuples autochtones est spécifique à deux égards : elle promeut une analyse intégrée des instruments juridiques d’une part et se construit à partir de la perspective des peuples autochtones d’autre part. Avec nos étudiant.es et stagiaires, nous travaillons en priorité sur des dossiers de plaidoyer. Cela suppose, pour les juristes, de ne jamais imposer un cadrage ou une priorisation des enjeux et de combiner un savoir technique tout en apprenant à le traduire et le mettre au service d’autres acteurs. Il s’agit là d’un enseignement fondamental pour tous les juristes, encore plus pour ceux et celles de demain. 

Nous collaborons également avec d’autres cliniques juridiques et organisations de défense des droits des peuples autochtones en Amérique latine, comme l’Observatoire de droits humains et des peuples autochtones d’Argentine : https://observatorioregionaldeddhhypueblosindigenas.wordpress.com/contacto/

Enfin, la clinique est également impliquée dans les activités du projet recherche européen MSCA Staff Exchanges EDGES (Entangling Indigenous Knoweldges in Universities) qui vise à faire dialoguer les savoirs autochtones et académiques http://www.edgesproject.com/